L’appel de la forêt

L’APPEL DE LA FORÊT

(Paroles : H.-F. Thiéfaine – Musique : Paul Personne)

Près de la rivière
J’entends de méchants bruits
Hum ! J’ai mon mauzer
& j’ai mon vieil uzi
Un cerf est passé
& ton oiseau de nuit
Semble nous dire
De n’pas blesser son ami,

Près de cette rivière si bleue
Ne sois pas de celles
Qui jouent les étrangères
Près de cette rivière tellement bleue
Pense à notre amour
& prends le jusqu’au p’tit jour

Le vent s’essouffle
Pourtant je sens mon coeur
Palpiter tout près
Du velours de tes seins
Tu m’époustoufles,
Ecoute le chant des fleurs
Profitons-en jusqu’au p’tit matin

Près de cette rivière si bleue
Ne sois pas de celles
Qui jouent les étrangères
Près de cette rivière tellement bleue
Pense à notre amour
& prends le jusqu’au p’tit jour

Oh tendre bébé ici on ne vend pas
De ces foutues pilules
Qui donnent de la tendresse

Faut toujours tout dealer
Mais je crois que chez moi
Tu es prise dans le piège
De mes caresses

Près de cette rivière si bleue
Ne sois pas de celles
Qui jouent les étrangères
Près de cette rivière tellement bleue
Pense à notre amour
& prends le jusqu’au p’tit jour

 


« …j’étais parti sur une rivière bleue, je ne sais pas pourquoi… Hubert a accroché et l’a pris comme trampoline pour écrire très vite cette histoire imaginaire » PP